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POURQUOI l'oeuvre Sainte Monique
a-t-elle été créée ?

Nos intentions se décomposent en deux :

 

ª Les vocations. Le Seigneur appelle forcément autant de prêtres qu’il en faut pour réaliser ses desseins. Ce qui est difficile, c’est la réponse. Notre prière doit s’attaquer à bien des obstacles :

  • d’ordre culturel : les conditionnements des générations actuelles ne facilitent pas l’engagement ni l’esprit de sacrifice ;

  • d’ordre social : le prêtre n’est plus porté par une ambiance de chrétienté ;

  • d’ordre spirituel : l’urgence du salut des âmes est souvent estompée ;

  • d’ordre familial parfois.

 

ª La fidélité et la sainteté des prêtres. Elle ne va pas de soi, il est inutile de faire des dessins. Quand un prêtre défaille dans la foi ou les mœurs, les dégâts appellent en réaction une prière accrue, d’une part pour expier, et d’autre part pour demander à Dieu de ne pas permettre que les âmes soient scandalisées, c’est-à-dire perdent le contact avec Lui parce que ses ministres ont été indignes. L’expérience montre suffisamment que personne n’est à l’abri : le démon sait bien les cibles qu’il doit viser. La prière obtiendra aux prêtres une protection pour qu’ils ne soient pas atteints par ses traits.

Mais la fidélité aux grandes lignes ne suffit pas. Nous demandons la sainteté du prêtre, ce que Benoît XVI appelait « la totale identification à son ministère » dans sa Lettre aux prêtres pour l’Année sacerdotale : « On ne peut pas ignorer l’extraordinaire fécondité produite par la rencontre entre la sainteté objective du ministère et celle, subjective, du ministre ».

QUI en fait partie ?

 

Pourquoi une Œuvre composée de femmes ? La réponse est d’abord tirée de l’Histoire, comme le montre le petit livre qui a donné l’idée de l'Oeuvre SAINTE MONIQUE : les nombreux exemples présentés prouvent le rôle essentiel fréquemment joué par  les femmes, mères, sœurs, amies, religieuses comme aide pour les prêtres, « à l’image de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère du Grand Prêtre éternel et Associée à son œuvre de rédemption » (Congrégation pour le Clergé, Priez le Maître de la moisson, Introduction du Cal Hummes). Au-delà du fait historique, l’affinité du mystère féminin avec le mystère du sacerdoce offre matière à de grands approfondissements pour la théologie et la spiritualité.

Ce document porte en sous-titre : « Guide  d’adoration eucharistique pour les vocations, la sanctification des prêtres et pour la maternité spirituelle ». Le dernier mot a plusieurs sens, il ne doit pas inciter à se donner une mission personnelle où des motifs non surnaturels prendraient trop de place. Celles qui ont un prêtre parmi leurs enfants ou parmi leurs proches ont de quoi être plus sensibilisées. Cependant les membres de SAINTE MONIQUE ne parrainent pas en particulier une personne ni un Institut : de façon désintéressée et dans l’effacement, elles élargissent leur prière à toute l’Eglise.

COMMENT ?

 

L’engagement est léger : une messe en semaine (ou une demi-heure d’adoration ou d’oraison), une pénitence, et quotidiennement la prière à Notre-Dame du Sacerdoce. Le deuxième vendredi de chaque mois, celles qui le peuvent se retrouveront (ne serait-ce qu'à deux ou trois) pour méditer le chapelet, puis passer un temps de prière alternant silence et lecture de textes spirituels. Toutes sont invitées, soit physiquement soit à distance, à ce rendez-vous invisible.

L'oeuvre Sainte Monique a commencé à Versailles, à l'initiative de l'Abbé A. Cayla, lors de l'Année Sacerdotale en 2009. Il continue à nous conseiller spirituellement. 

Le blog de l'oeuvre Sainte Monique

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